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 Miklos Bocskai

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Lycan Libre
Miklos Bocskai

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MessageSujet: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeMar 23 Aoû - 3:44

Miklos Bocskai

État Civil


Âge: 35 ans.

Race : Lycan libre.

Groupe : Villageois natif, partisan du prêtre.

Rang : Haut placé, si encore ce terme existe dans ce village pauvre et démuni.

Métier/fonction : Partisan du prêtre. Possède également un magasin d'armes, pas forcément contre les vampires.

Autre : Colères courantes et excessives. Pédophilie.


Son Portrait


Physique :
Imposant, mesurant certainement plus d'un mètre quatre-vingt-dix-neuf (nonante à la belge) et possédant une carrure assez musclée qui lui provient d'on ne sait où, l'homme qui se dirige d'une marche solennelle ne montre aucune expression sur son visage bien défini, au menton carré. Il regarde loin devant lui sans accorder la moindre importance à ce qui se trouve sous son nez. La tête légèrement levée, il ne s'excuse pas lorsqu'il marche à l'aide de ses longs pieds sur quelqu'un ou quelque chose et ne pose même pas son regard sur ce qui se trouve au sol. Pour lui, ce qui se trouve à sa hauteur est seul méritant de son regard. Le dénommé Miklos, bien distingué dans ses vêtements sur-mesure qu'il est obligé de couramment acheter (ils se déchirent dans ses transformations et il est incapable, le lendemain, de comprendre pourquoi il est nu), serait séduisant s'il n'avait pas ce dédain et ce "quelque chose" dans sa manière d'être qui le rendent répugnant.
Le voici, le voilà, désormais posté devant vous. Il se tient droit, il n'a jamais connu le dos bossu, d'où peut-être sa grande taille. Avant de venir, il a enfilé une chemise et rapidement (et n'importe comment) noué une cravate autour de son cou. Il y a comme un petit côté rebelle dans cet air raffiné...

Psychologique:
Ses sourcils se froncent. Il est perplexe, suspicieux. Pourquoi lui demande-t-on de décrire sa psychologie ? Miklos se considère comme un être supérieur, puisqu'il l'est réellement. "Dieu m'a envoyé sur terre pour aider celle-ci à se débarrasser des pécheurs, dit-il, et j'accomplis ma mission. Le prêtre a confiance en moi."
Il lève la tête bien haut, fier de lui. Quelle extase d'avoir été élu par le Tout-Puissant. Cet homme baigne dans le respect que les ecclésiastiques lui accordent et dans le sang des punis. Il éprouve une telle rage mélangée à du fantasme à martyriser les habitants du village qui osent le regarder de travers. Quand les enfants lui refusent d'accomplir quelque soulagement du membre "inférieur" ou quelque autre service, il lui suffit de les emmener au prêtre, tirant filles par les cheveux et garçons par les oreilles. Son front plein de sueur trahit ses nombreuses colères. C'est d'ailleurs toujours le front plein de sueurs qu'il amène ces pauvres enfants terrorisés au prêtre.
"Que dire sur ma psychologie, poursuit-il, sinon que je suis un brave homme qui pense à résorber les mauvaises personnes?" Il commence à se mettre en colère. Il n'aime pas ces questions. Et je vous conseille de les laisser là, si vous ne souhaitez pas faire de lui votre bourreau. "Je ne fais qu'accomplir la volonté de Dieu", dira-t-il alors.

Signe Particuliers :
Miklos grince les dents de rage. Des gouttes de sueur perlent sur son front pour venir tracer un parcours sur son visage. D'un geste de la main violent, il essuie cette sueur à l'aide de sa manche avant de serrer les poings.


Son Passé


Il courait, haletant, le petit garçon pleurant de toute son âme. "Tu es nul, avait dit un de ses camardes, tes parents n'ont pas voulu de toi, ils t'ont abandonné, c'est pour ça que tu es ici !" Il l'avait étranglé. Il avait étranglé la source de ces larmes. Comment ce garçon pouvait-il dire une chose aussi affreuse ? Bien sûr qu'il était aimé de ses parents, le petit Miklos ! Il devait bien y avoir une autre raison pour qu'ils l'aient amené ici ! Mais cela faisait dix ans qu'il attendait. Âgé de treize ans désormais et dépassant de sa grande taille d'un mètre soixante-cinq tous les enfants de son âge, il pouvait atteindre la boîte de cookies au-dessus de l'étagère de la cuisine de l'orphelinat. Mais il n'en aurait plus besoin désormais. Finis, les cookies donnés en cas de mérite qu'il volait puisqu'il ne les méritait jamais. Le garçon était désormais libre. Seul aussi ? Pas tout à fait. Il a toujours été seul, avant même de quitter l'enceinte de l'établissement.
Miklos (que l'on peut traduire par Nicolas) Bocskai (nom de l'orphelinat -lui-même nom du gérant- qu'ils donnaient à tous les enfants) ne vivait pas à B. L'orphelinat se situait dans un village à proximité. Et il ne pouvait pas y rester, étant donné qu'il venait de tuer quelqu'un. A treize ans, où pouvait-on bien aller ? Pas bien loin. Ce pourquoi Nicolas, son orgueil pour seul courage, pénétra dans le village le plus dangereux de la Transylvanie, suant, apeuré, fatigué, vêtu de ses vêtements de trois jours sales et déchirés. Il ne savait pas s'il était poursuivi pour ce qu'il a fait. A vrai dire, il ne savait même pas si quelqu'un l'avait vu faire.
Dans la cour, lui et l'autre garçon s'étaient trouvé entre deux bâtiments, dans un passage étroit inaccessible aux yeux des surveillants dans lequel les orphelins trafiquaient divers objets allant de l'insignifiant au dangereux. Il s'était enfui par l'arrière du bâtiment. Là-bas, un espace trop petit pour être une cour était entouré d'un grillage comme de l'autre côté, si ce n'étaient les grandes boîtes servant à la cargaison qui traînaient et qu'il suffisait d'empiler pour passer au-dessus du grillage. Bien évidemment, il fallait du courage et surtout un corps agile pour atterrir en se brisant le moins d'os possible.
Nicolas, habitué des fugues incognitos, avait acquis en dix ans une certaine souplesse et une technique qu'on ne pouvait sous-estimer. Il était devenu en quelque sorte un animal sauvage. Le jour de sa dernière fugue, il n'était plus seulement un animal sauvage par ses mouvements, mais également par son mental.
Il se trouvait donc, avec un soupçon de barbe naissante et les premiers signes de puberté, devant un village désert en cette nuit d'octobre. Il faisait tellement noir que Nicolas dût se trouver un repère ; un mur sur lequel il alla s'appuyer. De là, il observa tout ce qu'il pouvait voir de ce qui l'entourait. La maison devant laquelle il se trouvait était assez éloignée des autres et un petit bois (celui par lequel il arriva) entourait l'arrière de la maison. En parcourant cette maison des yeux, il s'arrêta brusquement sur la façade de celle-ci. Une grosse croix la surplombait, prenant toute la place qu'elle pouvait, grossièrement coupée, poncée, peinte. D'ailleurs, était-elle peinte ? Les gens ici avaient l'air d'avoir fait ça dans la précipitation. Mais pour quelle raison ? S'ils accoutraient de telle manière leur habitat, pourquoi le faire aussi grossièrement ?
Nicolas haussa les épaules inutilement. Les nuages cachèrent la lune et l'obscurité revint. Il lui fallait trouver un endroit pour dormir. Le vent soufflait dangereusement et était beaucoup trop frais au goût du jeune homme (oui, nous pouvions déjà l'appeler ainsi), pas étonnant que personne ne mette le nez dehors. Ce qui était tout de même était qu'aucune lueur provenant de bougies ne parvenait d'aucune maison. Ce n'était pas le problème de Nicolas, qui fut tenté de croire que le village était inhabité, mais l'inconvénient était la manière dont il allait se trouver un lit, ou du moins quelque chose qui pourrait le remplacer.
Le jeune homme vagabonda dans les sombres ruelles de ce village qu'il ne connaissait pas, parvint à voler quelques denrées en entrant, comme à son habitude, par effraction et infraction dans les boutiques. Autant dire qu'il put se régaler. Par contre, chose qu'il ne comprit pas, beaucoup de maisons étaient sécurisées comme elles pouvaient, munies de maintes serrures et même cadenas. Il était déjà difficile de pénétrer dans un jardin, pratiquement impossible dans une maison. Pratiquement car, après plusieurs heures et une grande fatigue accumulée, Nicolas entra dans une maison que l'on pouvait qualifier de cabane étant donné sa très petite taille. Il n'y avait aucune croix à l'entrée et, au lieu de s'étonner lorsqu'il voyait une maison sans crucifix, Nicolas s'étonnait lorsqu'il n'y en avait pas. Effectivement, après avoir cette nuit parcouru discrètement le village, il put voir que la majorité des maisons possédaient ce détail. Ces habitants étaient-ils croyants à ce point ?
Le jeune homme pénétra avec une facilité déconcertante dans cet habitat... Il lui avait suffit de faire sauter la serrure en tirant dessus comme un boeuf de trois tonnes. Effectivement, il n'y avait ici qu'une seule serrure...
Nicolas ne resta pas là bien longtemps à se poser des questions. Il perçut, au loin, un bruit de pas provenant de l'extérieur. Se pressant par peur d'être pris en flagrant délit, il referma la porte derrière lui avec un léger grincement. A ce moment-là, le bruit de pas qui s'avèrent être des grosses bottes en caoutchouc stoppa. Le jeune homme, devinant que ce fut le son de la porte qui provoquèrent cet arrêt net, retint son souffle avec l'étrange impression que même ceci, la personne pouvait l'entendre. Il recula avec le plus de précaution, et chercha dans le noir un endroit où se cacher tandis que les pas reprirent en direction de la maison.

« Merde ! Qu’est-ce qu’il vient foutre ici ?! » pensa l'apeuré.

Il voulait juste dormir !
Tandis qu'il cherchait vainement un endroit où se planquer, Nicolas trébucha sur ce qui semblait être un vase. Ce dernier se fracassa par terre et les pas s'accélèrent avant de tirer un coup sec sur la porte.
Nicolas, lui, se trouvait déjà à l'étage, et le placard qui se trouvait dans le couloir lui permit de se cacher derrière ce qui semblait être des peaux d'animaux. Il regretta son choix en sentant une odeur de pourriture qui lui donna l'envie de vomir. Il se retint.
Le personnage monta en haut. Il s'arrêta un long moment pendant lequel le garçon ne respira plus. Ce dernier sentait la tête lui tourner. Il se demanda ce qui adviendrait de lui s'il se faisait prendre...
Mais l'inconnu choisit une autre porte. Des cris se firent entendre de l'endroit où se trouvait Nicolas. Des coups. Des grognements. Quelqu'un valsa dans la pièce et passa à travers la fenêtre dont les débris de verre atterrirent en tintant sur le sol. Une femme demanda la pitié. Ce fut sans doute d'elle que provint une espèce de déchirement de membres. Elle poussa une longue plainte pleine de douleur que le garçon sentit presque pénétrer en lui. Il tremblait.
Soudain, le calme revint. Il se passa sans doute quelques heures avant que la lumière passe sous sa porte et il se décida à sortir. Finalement, il n'avait pas dormi.
Il entra avec beaucoup d'hésitation dans la pièce ouverte et son ventre se contracta avant de sortir par la bouche du garçon toute la nourriture dont il s'était empiffré la veille. Devant lui, plus aucun signe de vie. Le corps d'une femme gisait à terre. Ce n'était même plus un corps, mais sa décomposition. Des membres se trouvaient au quatre coins de la pièce mais c'était la seule personne qui se trouvait là. L'autre était à l'extérieur. Et Nicolas se demanda où pouvait être passée la dernière, le petit garçon qu'il avait entendu crier.

Nicolas tenta de prendre la fuite. Il tenta de sortir de ce village maudit. Mais n'y parvint jamais. Le bois semblait éternel et il entourait tout le village. Impossible de continuer à marcher la nuit, des bas se faisaient entendre ainsi que des cris d'animaux...


***** Dix ans passèrent *****

Nicolas Brocskai avait vingt-trois ans. Entre les filles qu'il emmenait chez lui pour des jeux de jambes en l'air qu'il était le seul à qualifier de parties de plaisir et son travail dans un magasin d'armes, il était imprégné d'une réputation neutre, hésitant entre la haine provenant des femmes passées par son lit de sadomasochiste et le respect des hommes qu'il servait parfaitement dans leur métier. Il avait acquis en ces années un statut de villageois supérieur à celui des habitants étant donné qu'il se révélait très utile, même auprès du maire. Personne ne pouvait nier que c'était un homme anormal mais doté d'une intelligence hors du commun également. Il était un fidèle des parents de Claudia qui tenaient la librairie du village, et de l'aubergiste chez lequel il venait uniquement boire un verre et se tenir au courant des dernières nouvelles de la ville. Il était sans aucun doute un homme cultivé par les livres et renseigné sur le village par les personnes les plus fiables.


***** Neuf ans passèrent *****

Âgé désormais de trente-deux ans, Nicolas consacrait davantage son temps à ses nombreux travaux plutôt qu'aux femmes. Il faut avouer qu'elles ne l'intéressaient plus grandement, et ses intérêts avaient changé. Ou était-ce son orientation sexuelle ? Quoiqu'il en soit, le prêtre fit un jour appel à lui pour un travail... hors du commun.

« Je t'envie, Miklos. Personne ici n'a ta force, ni ton allure, ni ton courage. Je te propose de travailler pour moi. »

Il lui avait parlé d'un travail intéressant et mieux payé que tous les autres réunis, et très utile à la communauté.

« C'est-ce que c'est, exactement ? » demanda le jeune homme.

Il était évident que malgré cette question il acceptait déjà. Le prêtre lui expliqua qu'il lui suffisait simplement de lui apporter des enfants en essayant d'avoir leur consentement au préalable (dans le cas contraire ce n'était pas grave, il les emmenait quand même) pour qu'il puisse les débarrasser de leurs péchés et rendre service à la communauté par la même occasion. Il ne lui en dit pas plus.
Particulièrement attiré par le salaire, Nicolas ne réfléchit pas et ne prêta pas attention aux détails que le prêtre avait omis. Il accepta en serrant la main du prêtre.

« Quand est-ce que je commence ? »

« Maintenant. »


***** Une année s'écoula *****

On l'appelait simplement Miklos. Personne ne l'ignorait au village et sa réputation fut de plus en plus mauvaise, mais personne ne lui chercha de problèmes. Il croyait désormais en un dieu. Celui qui l'avait rendu comme ça afin qu'il le serve et découvre le sens de la vie.
Miklos exécutait son travail avec de plus en plus de difficultés. Etant donné qu'il n'était plus vraiment apprécié au village, il ne parvenait plus à amadouer les enfants et dût commencer à les emmener de force chez le prêtre, dans l'église. Les gens qui lui cherchaient des problèmes étaient nombreux mais ne vivaient plus bien longtemps. Miklos connut la passion du crime.
Pour seule excuse, il se disait que Dieu l'avait voulu.
Par une soirée d'été, il observait des enfant jouer dans le champ. Le fermier n'allait pas être content. Ils détruisaient tout ce qu'il pouvaient et jouaient à qui était le plus malin.

« Tiens, tiens, voilà qui est intéressant, pensa-t-il, qui est le plus malin ? »

Par des divers défis que les enfants se lançaient, l'un d'eux avait le rôle de juge et les cotait. Ce fut un petit brun qui réussit avec succès la majorité des défis. C'était le plus... comment dire... étrange ? Miklos se reconnaissait en ce garçon. Le regard dénué de tout sentiment, un courage sans limite, l'absence de peur...
Lorsque tous les enfants furent enfin partis en voyant le soleil régresser, l'homme appela ce garçon, le dernier, celui qui traînait le plus et n'avait pas l'air impatient à l'idée de rentrer chez lui.

« Comment t'appelles-tu ? » lui demanda Miklos.

« Ça vous regarde ? »

Mmmh, comme il lui plaisait... Miklos lui dit que ce n'était pas grave, qu'il n'avait de toute manière pas besoin de connaître son prénom. Etant donné qu'il refusa de se rapprocher davantage, l'homme le saisit par le bras et le collas contre lui. Il passa sa main sur son ventre jusqu'à descendre plus bas...

« J'ai vu que tu aimais les jeux. Veux-tu découvrir le miennnnn... »

Il termina à peine sa phrase qu'il sentit des cros s'implanter en lui. C'était l'enfant ! Comment osait-il le mordre ainsi ?!!

« Espèce de morveux !!!! »

Avec l'idée de le tuer, Miklos poursuivit le garçon qui s'enfuyait comme une biche, rapide comme l'éclair. Comment avait-il réussi à le quitter aussi rapidement ? Comment fit-il pour disparaître aussi vite ?
Débordant de rage, Miklos abandonna et se jura de le retrouver. Il porta la main à son cou et sentit la morsure profonde ainsi que le sang qui coulait à n'en plus finir.

***** Quelques mois après *****

Miklos se réveillait. C'était tout naturel maintenant. Il se réveillait au milieu de nulle part, nu, sans se rappeler de ce qu'il avait fait la veille. Il pensait être devenu fou.


Ses Rapports avec les Autres

Amis : Aucun.
Famille : Aucune.

Et toi dans tout ça ?

C'est moi Wink (Cath) Tire la langue !
J'ai fait de courtes descriptions de son portrait, mais je pense qu'on n'a pas besoin de s'attarder là-dessus et le décrire dans les moindres détails... étant donné que rien que son attitude en dit déjà long.
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Lycan Libre
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MessageSujet: Re: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeMer 31 Aoû - 17:49

Présentation terminée .
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MessageSujet: Re: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeMer 31 Aoû - 19:13

Et bin dit moi c'est super intéressant tout ça *O*
Bon bin bienvenue hein ^^
Je te rajoute ton rang de lycan libre et dégueulasse Very Happy

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MessageSujet: Re: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeMer 31 Aoû - 19:18

Si se baigner dans du sang de vierges n'est pas dégueulasse...
Chacun son petit truc répugnant, Lady !
Merci !
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MessageSujet: Re: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeMer 31 Aoû - 20:34

J'ai jamais dit que c'était un reproche Laaaaaa
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MessageSujet: Re: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeMer 31 Aoû - 22:42

En plus t'étais un ami de mes parents ?!
Je t'aime pas. boude
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MessageSujet: Re: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeMer 31 Aoû - 23:12

@ Elisabeth : Soyons amis, alors !

@ Claudia : Fidèle client veut-il dire forcément AMI ? Tes parents me détestaient comme le reste du village, si ça peut te rassurer. En tout cas quand ils ont vu qui j'étais réellement. Tu me détestes ? Mais tu n'as même pas vu ce que j'étais capable de faire aux jolies petites filles comme toi diable
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MessageSujet: Re: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeMer 31 Aoû - 23:32

Si, si. Je sais. Et ma vengeance sera terrible. Sourire à pleines de
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MessageSujet: Re: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeSam 3 Sep - 16:13

Des... Menaces ? A ma Claudia ? Je ne suis pas un adepte de la violence mais tout de même. ça peut changer....


sinon j'adore ta fiche, diablement perverse xD !
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MessageSujet: Re: Miklos Bocskai   Miklos Bocskai Icon_minitimeLun 12 Sep - 9:56

Oh quel erreur de ma part, j'ai oublié de déplacer cette fiche validée ><
bref ça se déplace, ça se déplace ><
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